Bragelonne lance Snark, sa collection primo-numérique

La famille s’agrandit. Dès janvier 2014, nous sauterons un autre grand pas en avant en lançant une entité entièrement dédiée à la publication de textes numériques : Snark.

Si Bragelonne est l’un des premiers éditeurs numériques français indépendants, c’est pour au moins cinq raisons :

  1. l’ampleur de son catalogue numérisé et complété semaine après semaine ;
  2. sa politique de fichiers sans DRM et à prix justes ;
  3. la création de collections dématérialisées pour remettre à disposition du public des romans et des nouvelles indisponibles et (pourtant) incontournables ;
  4. le dynamisme de ses actions commerciales ;
  5. et, enfin, notre communication ininterrompue avec vous, chers lecteurs.

Nous ne rappelons tout ceci non pas pour nous lancer des fleurs, mais parce que ce sont des faits. Et nous comptons aller plus loin avec cette nouvelle collection.

logo-snark-noir-sur-blanc

Snark (nous vous laissons chercher la référence) diffusera différents types d’ouvrages. Romans et romans-feuilletons y cohabiteront ; ces derniers se prêtant particulièrement bien à une exploitation numérique. La flexibilité de l’édition numérique permettant d’envisager bien des choses, un projet de traduction est déjà en cours de travail. Néanmoins, l’essentiel des livres édités seront écrits de la main de talentueux auteurs français ou francophones.

Cette collection sera dirigée par Claire Deslandes, directrice éditoriale en charge du département numérique de Bragelonne. Les auteurs qu’elle a choisi sont très talentueux. Si nous publions (ou rééditons sous cette bannière) des personnes telles que Jeff BalekCécile DuquenneSilène Edgar, Mathias Moucha ou encore Christelle Verhoest, c’est parce que nous avons jugé leurs écrits dignes d’être diffusés. Leurs textes ont répondu aux mêmes critères de qualité que ceux exigés pour tous nos livres, qu’ils soient imprimés ou téléchargeables. Nous les remercions au passage de la confiance qu’ils nous témoignent.

Les lecteurs attachés au papier et les libraires ne seront pas lésés pour autant puisqu’un programme d’impression à la demande de ces romans digitaux est en cours d’élaboration. Prochainement opérationnel, ce système permettra aux lecteurs non équipés de liseuse ou de tablette de découvrir eux aussi ces ouvrages en les commandant auprès de leur librairie habituelle.

Nous aurons évidemment tout le loisir de revenir sur les créations de nos nouveaux amis. Mais vous pouvez dès maintenant noter les parutions suivantes dans vos agendas.

Le 22 janvier 2014 :

  • Fortune Cookies de Silène Edgar
  • Seuls de Mathias Moucha
  • Le Rêve Oméga – épisode 1 de Jeff Balek

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Le 5 février 2014 :

  • Sombre Héritage – tome 1 : La Vision de l’Encercleur de Christelle Verhoest

Le 19 février 2014 :

  • Les Foulards rouges – épisodes 1 et 2 de Cécile Duquenne

Merci de votre attention et de votre fidélité. Bon week-end !

10 réflexions au sujet de « Bragelonne lance Snark, sa collection primo-numérique »

  1. Une nouvelle collection qui mérite qu’on s’y intéresse de très près…. Je ne raterai aucun de vos titres, promis!!! Super!!!

  2. Question: les soumissions pour cette nouvelle collection sont-elles ouvertes et se font-elles via votre page de soumission habituelle?

  3. Super idée que cette collection ! Vous avez raison de rappeler que vous êtes une perle par rapport aux éléphants de l’édition française 😉

    Quelques suggestions pour l’améliorer :
    1/ Ajouter le genre des publications (fantasy, sf, bit lit…) comme chez Milady, d’autant plus si vous lancez des auteurs qui sont de sombres inconnus.
    A mettre sur la couv pour savoir au premier coup d’oeil à quoi s’attendre (en bas sous le tritre ?), ou faire un masque de couv distinct selon les genres (blanc pour le polar, gris pour la sf, bleu pour la fantasy, rouge ou noir pour la bit lit…)

    2/ En profiter pour continuer les séries arrêtées en papier : Dresden, Aléra, les vampires Argenneau, Kate Daniels, Rachel Morgan, Lucky Harbor… C’est pas le choix qui manque ! Là, pour le coup, vous feriez un carton^^

    Continuez comme ça !

  4. Pouvez-vous nous dire si je peux vous proposer un manuscrit ? Merci d’avance

  5. Lominala :

    1) On ne cherche pas à adopter le code-couleur utilisé par nos autres collections numériques car ça briderait la créativité de nos couvertures. Mais la fiche de chaque livre, sur notre site web, indiquera les genres, évidemment. Je peux déjà vous dire que c’est de la SF cyberpunk pour Le rêve Oméga, de l’Anticipation politique pour Fortune Cookies, de Terreur pour Seuls et de bit-lit pour Sombre héritage. Quant aux Foulards rouges, j’aurai tendance à dire que c’est de SF de type Planet Opera. Voilà. 🙂

    2) Des poursuites numériques peuvent toujours être envisagées si on est certain qu’il est impossible de continuer en version papier. Mais, si je ne dis pas de bétises, Snark sera résolument orienté vers les nouveaux auteurs (et les découvertes au sens large du terme).

  6. Bonjour,
    Sera-t’il possible d’acquérir ces livres numériques pour les bibliothèques ? Quel système pour les prêter ? Et si non, n’importe quel libraire sera-t’il susceptible de procurer la version papier ?

  7. Perso, je n’ai pas de liseuses ou autres moyens de lecture électronique. Je n’arrive pas à lire dessus . L’idée de l’impression à la demande pourrait servir pour d’autres titres comme le Codex Alera ou autres.

  8. « 2/ En profiter pour continuer les séries arrêtées en papier : Dresden, Aléra, les vampires Argenneau, Kate Daniels, Rachel Morgan, Lucky Harbor… C’est pas le choix qui manque ! Là, pour le coup, vous feriez un carton^^ »

    Je plussoie à mort, un méga carton !!! J’en viendrai presque à me mettre à lire en anglais pour pouvoir lire certaines suites (aaah Dresdennnnn!!!)

    Y a-t-il des idées dans ce sens en dehors de Snark?

  9. Navré de devoir doucher votre enthousiasme, mais il ne peut y avoir le méga-carton que vous annoncez. C’est mathématique : si un cycle ne s’est pas bien vendu en version physique, le poursuivre sous forme dématérialisée va invariablement réduire encore plus le lectorat. Tout le monde ne dispose pas de liseuse ou de tablette. (Tout le monde ne sera pas d’accord avec cette façon de procéder, non plus.) Du coup, il est évident qu’il ne peut y avoir de succès commercial, puisque, dans l’hypothèse où l’on prendrait une telle direction, on s’adresserait à la niche (les littératures de l’imaginaire), d’une niche (les littératures de l’imaginaire et plus particulièrement les les lecteurs de Dresden, Kate Daniels, etc) , d’une niche (les littératures de l’imaginaire et plus particulièrement les les lecteurs de Dresden, Kate Daniels etc, qui sont équipé.)

    Bon, après, on en est conscient, et le but n’est pas de devenir millionnaire avec ça. Oui, on y a pensé, mais des plans de ce genre ne peuvent pas être automatisés. On parle d’un sujet sur lequel on ne pourra pas faire d’argent, le but étant de ne pas en perdre. Mais l’économie du livre numérique telle quelle est ne nous permet pas de nous lancer dans cette aventure à la suite de toutes annulation.

    P.-S. : Lucku Harbor continue, vous savez ? 🙂

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