Chez Bragelonne, on aime bien s’amuser, mais on aime également découvrir de nouvelles choses. Et nous avons eu de la chance, puisque nous avons testé dernièrement (en exclusivité et avant première mondiale d’île de France) à l’aide d’un prototype, le jeu Age of Towers de Devil Pig Games !
Devil Pig Gamesest une jeune maison d’édition parisienne, qui créé des jeux de plateau, de cartes et autres jeux de figurines sans figurines, funs, dynamiques ET… funs ! On leur doit entre autres Shadows over Normandie, qui voit en plein débarquement en juin 44 dans le riant bocage normand quelques profonds et autres affrosités lovecraftienne s’inviter à la fête.
Age of Towers, c’est quoi l’histoire ?
« Au royaume de l’Ordre Céleste, votre cité au pied du mont Ilyria est en péril ! Vous venez de trouver une mine remplie de cristaux d’énergie ! Ceux-là même dont vous vous servez pour votre magie de tous les jours. Le hic, c’est que vous êtes tombé au passage sur des hordes de monstres. Et pour ne rien arranger, les autres cités semblent aussi avoir découvert l’existence de cette mine. Vous n’avez plus le choix, c’est eux ou vous, avec les monstres au milieu… »
En une heure, vous devrez défendre l’accès à votre cité, tuer tous les monstres, et vous débarrasser des différents ennemis (i.e. vos voisins de table qui jouent les autres cités) qui ne rêvent que de vous détruire… Bref, pour ceux qui connaissent le terme : du pur Tower Defense. À savoir qu’on doit construire des tours pour tirer sur les hordes d’ennemis qui attaquent par vagues successives. Vous améliorez vos tours au fur et à mesure, les rendant plus puissantes, et par un hasard incroyable vos assaillants deviennent de plus en plus forts également de vague en vague. 100% stress et stratégie, et plus fun qu’un mur au Mexique (on s’comprend…)
Le jeu se déroule dans le même univers que le précédent jeu du studio, Kharnage (que nous avons aussi eu la chance de tester, et dont on vous reparlera très prochainement), et vous y croiserez donc orcs, gobelins, nains, et humains !
Age of Towers est en cours de financement sur Kickstarter jusqu’au 16 février. Chez Bragelonne, c’est testé et approuvé, alors n’hésitez pas à les aller les soutenir ! Nous on l’a fait…
L’univers culte de Pierre Pevel souffle ses dix bougies (eh oui dix, le temps file !) cette année. Un chiffre rond que nous sommes fiers de fêter avec une édition collector de toute beauté et un feuilleton inédit !
David Forrest revient très en forme, avec cette fois une délicate mission : vous accompagner sur plusieurs mois en tant que showrunner de l’un de nos feuilletons numériques de la rentrée ! Lire la suite →
Le livre audio est une création assez ancienne, mais il semble que, pour cette forme de narration à cheval entre deux médias, l’heure de la reconnaissance soit enfin venue, du moins de notre côté de l’Atlantique. Il faut dire que nous avons maintenant tous (ou presque) un smartphone en poche, et donc un accès beaucoup plus simple à plusieurs heures d’enregistrement. C’est plus pratique à trimballer qu’une douzaine de CD.
C’est sous la bannière du label Hardigan que Bragelonne, Milady et d’autres marchent fièrement vers cette terra (bientôt plus) incognita. Hardigan n’est pas l’un de nos projets à proprement parler. Nous le soutenons massivement, mais pas directement puisque c’est une initiative menée par notre diffuseur numérique, e-Dantès.
Concrètement, cette société achète le droit de proposer certains de nos ouvrages sous forme radiophonique. Cette relation est assez similaire à celle qu’on peut avoir avec d’autres éditeurs, qui souhaiteraient proposer nos livres au format poche, par exemple.
Pour que vous puissiez savoir à quoi vous pouvez vous attendre avec eux et nous si vous décidez de vous mettre aux audiobooks, nous avons interrogé David Oghia, cofondateur de Bragelonne et actuel grand timonier d’e-Dantès, et Yann Denis, son complice ingénieur du son.
Note : Cet article a été précédemment publié dans le n°26 de Neverland. Vous avez-là la version complète de l’entretien.
Pouvez-vous nous présenter e-Dantès en quelques mots ?
David : e-Dantès est avant tout une société de services pour les éditeurs qui souhaitent développer leurs catalogues au format numérique. D’ailleurs, je vous renvoie à notre site Internet, e-dantes.com, où nous décrivons toutes nos activités. Nous proposons une offre de diffusion mais aussi des prestations de fabrication (création de couvertures, fabrication d’e-pubs, impression à la demande, etc.) pour les professionnels. Nous avons aussi une activité événementielle, Les Nuits au Max, qui est notre bouffée d’oxygène et notre contact régulier avec le public.
Qu’est-ce qui vous a amenés à vous lancer dans l’aventure du livre audio ?
David : Pour les activités d’e-Dantès en général, c’est toujours le même principe : j’aime développer des projets dont j’ai besoin. Pour Les Nuits au Max, j’avais envie que les nuits cinéma que j’avais adorées dans ma jeunesse reviennent et donc je les ai relancées. Pour le livre audio, vu que j’habite loin de Paris et que je passe beaucoup de temps dans les transports et la voiture, j’étais en manque de textes lus dans mes genres préférés (science-fiction, Fantasy et thriller).
J’ai conclu un accord de diffusion avec Audible(la branche livres audio d’Amazon) qui me permettait de produire et de diffuser un catalogue conséquent, en tout cas suffisant pour ma propre consommation ! J’espère qu’il va plaire aussi aux lecteurs habitués à ce format.
Yann : En ce qui me concerne, David m’a menacé de venir jouer de l’otamatone toutes les semaines chez moi si je ne rejoignais pas l’équipe. (Les amateurs de podcasts hi tech comprendrons.)
Je vois… ou plutôt, j’entends très bien. Quel est l’état de ce marché, en France et dans le reste du monde ?
David : Pour le livre audio ? En France, c’était dérisoire : moins de 1 % du marché du livre. La faute à une offre extrêmement faible et mal diffusée. Mais c’est en train de changer. Nous sommes encore loin des pays anglo-saxons ou de l’Allemagne, où les ventes de livres audio dépassent les 5 %. Vous voyez que nous avons encore un bon volet de développement par rapport aux marchés étrangers.
De quelle manière choisissez-vous les titres que vous souhaitez adapter ?
David : Je ne les choisis pas ; ils viennent à moi en volant à dos de chauves-souris géantes ! En fait, sérieusement, c’est un peu comme par magie. Nous avons principalement acheté les droits de livres qui sont édités par Bragelonne et Milady, mais aussi par les éditions Delpierre. Il y a tellement de choix dans ces maisons. J’ai eu la chance d’être là aux origines de Bragelonne et de voir les succès fulgurants de David Gemmell, Terry Goodkind ou encore Raymond Feist… Quel plaisir aujourd’hui de pouvoir revenir sur ces textes et les réinterpréter au travers de la lecture d’un acteur.
Il y a des centaines de titres à notre disposition et notre choix s’oriente principalement sur des romans qui sont déjà des succès en grand format, mais aussi qui ont un potentiel très fort comme Les Quinze premières vies d’Harry August. Nous aimons particulièrement les jeunes auteurs français comme David Forrest, qui ont développé leur lectorat au travers des librairies numériques et des réseaux sociaux. En plus de la qualité du texte, c’est la longueur qui prime dans le choix d’un roman. Entre dix et quinze heures de lecture, c’est le format idéal…
LIENS UTILES
Audible.fr : C’est là que sont commercialisés les audiobooks. (Une appli pour smartphone et tablette est également disponible.)
Si vous voulez « tester avant d’acheter », la chaîne YouTube d’Hardigan propose de longs extraits. Ceux-là mêmes qui illustrent cet article.
Enfin, vous pouvez également suivre les aventures du label sur le site web hardigan.fr…
* … ainsi que sur Facebooket Twitter.
Dans quelles conditions ont lieu vos enregistrements ?
David : De très bonnes conditions ! Nous avons fait construire dans nos locaux une cabine d’enregistrement insonorisée dans laquelle nos acteurs ont l’air très à l’aise. Yann a installé son matériel juste à côté et une vitre sépare le technicien du lecteur. Ils peuvent donc se voir et se donner des instructions au fil de la lecture. On a intérêt à être bien installé quand on passe de très nombreuses heures à parler dans un micro.
Quelles sont les différentes étapes de la création d’un livre audio ?
Yann : Tout d’abord le choix de la voix en fonction du type de bouquin, de l’histoire et du personnage principal/narrateur. Vient l’enregistrement en lui-même, en local dans notre studio ou en externe. (Certains comédiens sont équipés d’une cabine insonorisée et d’un bon microphone/préampli micro).
Ensuite, c’est le montage : je nettoie les pistes (bruits de bouche, respiration omniprésente…), jette les mauvaises prises, raccorde les bonnes, enlève les blancs, en rajoute parfois. Puis vient l’étape du mixage/ mastering pour vérifier que l’ensemble des cinq, dix ou quinze heures de narration est homogène et qu’il n’y a pas de variation de volume sonore trop importante d’un chapitre à l’autre.
Après, l’export/conversion, pour que chaque fichier corresponde à un chapitre dans un format non compressé (pour nos archives) et compressés (pour les envois à Audible). Enfin, la livraison.
Et comment se déroule un enregistrement ?
Yann : Sur plusieurs jours. En général, entre cinq et dix, en fonction de la taille du livre. Nous sommes obligés d’entrecouper les séances de pauses régulières en raison de problèmes de diction. En effet, pour chaque acteur/actrice, il arrive un moment où l’articulation ne suit plus. Parfois, au bout d’une heure, une phrase, qui en début de séance serait passée toute seule, se retrouve être le pire cauchemar d’un narrateur et il faut quelquefois sept ou huit prises pour qu’elle soit bonne ! On enregistre généralement de 10h00 à midi et demi, avec deux coupures de cinq à dix minutes, puis de 13h30 à 16h00, avec les mêmes pauses.
Comment choisissez-vous les comédiens ?
Yann : Pour les filles, il y a deux types de voix nécessaires : le timbre de femme fatale, grave et assuré (80 notes de jaune) et un timbre plus jeune et innocent (L’Étreinte de la nuit). Pour les garçons, on privilégie des timbres de voix dans les graves/ médiums avec toutefois trois types de narration différents. Pour être honnête, le budget a été un frein au choix des acteurs aussi. Par exemple, les acteurs de doublage sont souvent payés à la ligne. Les grands noms du secteur sont en moyenne payés 5 € la ligne… Impensable pour notre activité !
Tout ceci ne serait pas rentable pour un livre audio, qui nécessite cinq jours d’enregistrement en moyenne. Il a donc fallu négocier et trouver des acteurs qui comprennent notre souci d’économie. Le choix des voix se fait donc aussi en fonction d’un équilibre entre le coût et la performance.
Combien de temps en moyenne durent vos audiobooks ?
David : C’est très variable, ça va de moins de trois heures pour les romans adaptés de la série Buffy, jusqu’à près de quatorze heures pour Harry August. Mais, en moyenne, on préfère des œuvres qui font entre neuf et douze heures de lecture. C’est une durée idéale.
Pourriez-vous présenter certains d’entre eux ?
Yann :
Arnauld Le Ridant (Doctor Who, En Série, L’Odyssée du Temps) est un acteur qui vient du théâtre et qui fait pas mal de voix off.
Richard Andrieux (Harry August, Broadchurch, Waylander) est auteur/compositeur et comédien. Et aussi écrivain.
Nicolas Planchais (Légende, Japantown, Touch) est un acteur de ciné et de théâtre qui avait déjà fait pas mal de livres audio.
Sophie Celzo (80 notes…) est une actrice de voix off / doublage mais aussi photographe professionnelle.
Véra Pastrélie(L’Etreinte de la Nuit, Une semaine avec lui) est une jeune comédienne.
Claire Guyot (Buffy) est une comédienne pro du doublage. (Desperate Housewife, etc.) Sa fiche wikipedia t’aidera plus que moi. 😉
Y a –t-il des comédiens avec qui vous adoreriez travailler ?
Yann : Salma Hayek et Mimi Mathy. Bon plus sérieusement : Jacques Frantz, RichardDarbois, Jean-Philippe Puymartin, et plein d’autres…
Combien de temps en moyenne durent vos audiobooks ?
Yann : C’est très variable, ça va de moins de trois heures pour les romans adaptés de la série Buffy, jusqu’à près de de quatorze heures pour Harry August. Mais en moyenne, on préfère des œuvres qui font entre neuf et douze heures de lecture. C’est une durée idéale.
Expliquez-nous votre politique de prix…
David : C’est très simple. Nous n’avons que deux prix : 9,99 € et 14,99 €. Sur Audible, vous avez la possibilité de prendre un livre par mois parmi tous ceux du site si vous souscrivez à un abonnement mensuel de 9,99 €. Nous nous sommes dit qu’il serait bon de proposer une offre plus large pour les abonnés (ou non) à ce tarif. Mais certains de nos textes sont vraiment plus chers à produire. Dans ce cas, nous passons au palier supérieur de 14,99 €, ce qui reste, à mon avis, un prix raisonnable et non prohibitif pour s’offrir plusieurs lectures audio dans le même mois.
Est-ce qu’il y aura toujours autant de livres audio adaptés d’œuvres publiées par Bragelonne et Milady à l’avenir ? Proposerez- vous l’adaptation d’autres ouvrages ?
David : Bien sûr. Nous avons déjà contracté plusieurs textes avec d’autres éditeurs… et vous pourrez découvrir tout ça dès 2016. En attendant, il y a déjà tellement de beaux textes chez Bragelonne à faire en audio…
Quels sont vos projets, vos envies ?
David : Des projets et des envies nous en avons plein… que ce soit en matière de textes mais aussi en ce qui concerne les acteurs avec qui nous aimerions collaborer pour nos lectures. Le fait d’avoir fait travailler Claire Guyot, la véritable voix française de Buffy, sur les livres audio tirés de la série fut parmi ces vœux devenus réalités. Il y’a des voix mythiques du doublage où certains acteurs comme Feodor Atkine ou Dominique Pinon qui font déjà du livre audio et que j’aimerai bien faire venir chez Hardigan.
En matière de texte, il va falloir que nous tentions des formats plus court et donc prévoir d’autres tarifs pour des nouvelles par exemple. J’aimerai bien aussi faire quelques biographies originales ou des essais. On a quelques idées bien précises à ce sujet…
Une anecdote d’enregistrement à partager ?
Yann : Il y en a pas mal, en fait… Il faut dire que certains bouquins, notamment des romances érotiques, font que l’actrice a besoin de relâcher la pression de temps en temps. J’ai quelques pépites en matière de franches rigolades enregistrées « en off ».
En racontable, je pourrais te parler de Claire Guyot qui avait oublié le personnage de Angel dans Buffy(elle m’a avoué préféré largement Spike plus tard…) jusqu’à en oublier la prononciation de son prénom…
J’en ai une autre sur En Série, un très bon livre sur le journal intime d’un serial killer, mais qui parfois nécessite de relâcher un peu la pression tellement il est cru. Nous avons testé avec l’acteur Arnauld une version québécoise sur un ou deux paragraphe… Et bien c’était très drôle et ça a beaucoup plu à l’auteur !
TITRES BRAGELONNIENS À PARAITRE :
Septembre
Ténèbres sur Sethanon de Raymond E. Feist
Celui qui chuchotait dans le noir de H.P. Lovecraft
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